Mon coup de foudre pour le travail de patience d’un paysan, malteur, brasseur, distillateur dans le jardin de Bruxelles.
Au départ c’est le coup de foudre pour la ferme de Manu De Cort.

Puis pour sa malterie toute neuve construite sur mesure et qui tient tout juste dans son bâtiment.

Puis pour ses moûts ensemencés en coolship transvasés dans les alambics dans lesquels a lieu l’ébullition.

Puis pour sa distillerie où je me sens lilliputienne.

Puis pour son chai de Lambics et de whiskys.

Puis pour son Jenever, un genièvre qui me fait aimer le genièvre.

Puis pour son Wild Adam, cidre et lambic fermentés séparément puis assemblés
pour continuer leur fermentation en bouteille pendant cinq ans.

Puis pour la sauce de la carbonnade de Sofie dont le secret est leur Schaerbeekse Kriek.
Ce travail de patience résonne dans le numéro été de Mordu Magazine de la Terre à la Table.
Vous savez ce qu’il vous reste à faire ?
Programmer une balade dans le Pajottenland, à Pepingen, chez De Cort Distillery

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