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Des bières fermières, des gruyts, des kveiks, des inspirations aux 4 coins du monde

Florilège de quelques articles de Martin Thibault parus dans Mordu Magazine

“Aito Perinteinen Tuot”en finnois, ce “produit traditionnel protégé, c’est la Sahti.


Une famille de bières traditionnelle, ancestrale et de plus en plus vivante. Et non un style précis. Avant tout, il faut comprendre que le terme « Sahti » est aussi vaste que « bière belge forte ». Les variations abondent autant au niveau de la couleur, du pourcentage d’alcool et des ingrédients principaux que du processus.Cependant, il existe quelques traits familiaux précis qui unissent toutes ces bières fortes des fermes finlandaises. Pour le dégustateur, il faut avouer que la Sahti est très souvent assise sur une texture très riche, peu gazéifiée et donc résolument sucrée. Elle possède aussi des notes fruitées (banane, raisins secs) et quelques accents de verdure terreuse gracieuseté des branches de genévrier.

Article complet de Martin Thibault à découvrir dans le numéro 9 Bières & Mets ( devenu Mordu Magazine )

Et si on se québécisait un peu plus?

Enveloppée par l’air salin du golfe du Saint-Laurent, Élise Cornellier-Bernier cueille des fleurs et des herbes à même les champs des Îles-de-la-Madeleine. Ce n’est pas pour préparer un bouquet en guise de cadeau. Plutôt, elle cherche à créer une harmonie entre les parfums de la nature qui l’entoure et ceux des houblons, des céréales et des ferments qu’elle met en valeur dans le portfolio de sa microbrasserie.


Article complet de Martin Thibault “De la bière nordique du Lac-Saint-Jean aux Îles-de-la-Madeleines” à découvrir dans le numéro 8 Bières & Mets (devenu Mordu Magazine ).

Exploration d’un brassin collaboratif mémorable chez La Mouche, à Natashquan.

Des techniques brassicoles du passé scandinave adaptées à la côte nord du Québec pointeraient-elles vers le futur du brassage hyper local partout en Occident? Exploration d’un brassin collaboratif mémorable chez La Mouche, à Natashquan. Aujourd’hui, au XXIème siècle, il y a deux raisons majeures d’essayer de telles techniques de brassage ancestrales. Premièrement, le rayonnement de cultures brassicoles presque disparues, comme celle des fermes norvégiennes, contribue grandement à la richesse de l’univers de la bière. La récente mise en lumière des kveiks prouve le tout aisément. Deuxièmement, ces mêmes cultures nous apprennent à mieux utiliser nos terroirs respectifs au-delà des sempiternels orge et houblon. La cueillette
matinale de branches ou autres aromates (pas des versions séchées, comprimées et/ou congelées), les infusions d’eau de brassage, la fumaison des céréales avec du bois local, le développement d’un levain unique à la brasserie et initialement issu de la nature environnante… La liste est longue et toutes ces méthodes s’assurent de mieux s’ancrer dans notre terroir, à l’abri des vents et marées du commerce international. S’agit de braver les premières vagues et de laisser la faune nous observer pendant que l’on met le cap sur des pratiques brassicoles nourrissantes.

Article complet de Martin Thibault à découvrir dans le numéro 13 de Mordu Magazine

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